A propos de murs...
Il y a bien le bout de l'affiche du cirque Amar qui me fait de l'oeil sur ce mur mais s'impose à moi The Wall des Pink floyd quand même autre chose que le " Y a toujours un côté du mur à l'ombre" que chantait il y a bien bien longtemps Gilbert Bécaud. Et Sartre dans tout ça? Pas envie de le relire ce mur.
Et puis me viennent à l'esprit mur de la honte, mur de haine, mur des fusillés, murs qui empêchent des communautés de se rejoindre, mais ce serait parler à mur que d'espérer les abattre.
Mur cache misère des bidons ville ceux-là aussi sont honteux.
Tout n'est pas si noir quand il s'agit de mur, de soutènement, porteurs, de refend ils sont bien utiles pour mettre un toit sur nos têtes.
Mur des lamentations, ah celui-ci s'il pouvait raconter...
Les murs ont des oreilles de sinistre mémoire.
Murs des villes parfois enjolivés avec talent par le street art.
Le mur outil de communication accolé à facebook, chose à laquelle je ne comprends rien.
Le mur au foot-ball qui bien solide empêche de marquer un but.
Alors que j'écris, dimanche après-midi, un mur de pluie s'abat sur le jardin et me voici au pied du mur, je dois prendre une grande décision, boire mon thé ou prendre un carré de chocolat ou les 2 si bons pour le moral.
Ah une dernière pour la route, enfant j'adorais faire les pieds au mur, je ne m'y risquerai aujourd'hui. Dommage.
Billet original sur Les uns, les autres et moi